Face à la prolifération récente de films sans aucunes qualités, Mediafilm se voit dans l’obligation de créer une nouvelle cote : (8) – Pourri.
L’équipe rédactionnelle de Mediafilm couvre toutes les sorties de longs métrages en salle au Québec, mais aussi les principales sorties sur les plateformes numériques, qui, d’année en année, deviennent de plus en plus nombreuses.
Dans un souci de mieux servir notre lectorat, nous tentons de traiter la quasi-totalité de ces diffusions en ligne. Ce faisant, nous devons évaluer des productions qui, de l’avis de tous, n’ont aucunes qualités, fussent-elles psychotroniques, et auraient dû restées dans les limbes de l’industrie cinématographique.
Créées en 1968 par Robert-Claude Bérubé, les cotes de Mediafilm vont de (1) Chef-d’œuvre à (7) Minable. 55 ans plus tard, nous sommes contraints d’ajuster cette échelle afin de répondre aux réalités du 21e siècle.
C’est pour cette raison que, suite à des semaines de délibération avec les instances décisionnelles, nous en sommes venus à l’inévitable conclusion qu’il nous fallait ajouter une nouvelle cote pour les films qui ne sont tout simplement pas dignes d’une cote (7) – Minable.
Les films pouvant se mériter l’ignominieuse cote (8) – Pourri devront répondre aux critères suivants :
Voici donc les 5 premières cote (8) - Pourri, présentées ici par Ordralfabétix.
Une langue universelle, deuxième long métrage de Matthew Rankin, est projeté en première mondiale à la Quinzaine des cinéastes en marge du 77e Festival de Cannes.
Après avoir raflé les prix du jury et de la mise en scène à Cannes avec The Lobster et The Killing of a Sacred Deer, Yórgos Lánthimos concourt de nouveau pour la Palme d’or avec Kinds of Kindness.
Au 77e Festival de Cannes, Francis Ford Coppola lève (enfin!) le voile sur son attendu Megalopolis, 50 ans après sa première palme d’or (pour The Conversation), 45 ans après la seconde (pour Apocalypse Now).
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