Soumis au ballotage de Mediafilm pour l’attribution potentielle de la cote (1) - Chef d’oeuvre, ce remarquable The Lord of the Rings - The Return of the King signé Peter Jackson (Heavenly Creatures, King Kong,) raconte l’ultime affrontement des mages et hobbits contre la gigantesque armée du sinistre Seigneur des Ténèbres.
Ce film répond-il aux critères lui permettant de passer de la cote (2) à la cote (1)? Mediafilm pose la question à son comité de rédaction, ainsi que, via sa page Facebook, à ses lecteurs et lectrices.
Pour alimenter le débat, voici quelques extraits d’articles (positifs et moins positifs) parus au moment ou dans la foulée de sa sortie en salle, le 17 décembre 2003.
Un pur spectacle fait d'émotion et de frisson, d'exaltation et de symboles. Une imagerie grandiose qui fait presque regretter que l'Histoire, la vraie, ne soit pas traitée avec les mêmes moyens. Mais nous sommes ici au pays des légendes, de l'invention et du délire. Dominique Borde, Le Figaro
Avec ses conflits épiques, ses batailles stupéfiantes, ses paysages impressionnants et ses effets spéciaux époustouflants, Le Retour du roi est un film rythmé de 200 minutes sans une once de gras. Todd McCarthy, Variety
Pari impossible, pari tenu. Bravo, puisque ces trois films n'en forment qu'un de dix heures. Hommage aux décorateurs, (...) aux acteurs, (...) aux paysages. Hommage à Elijah Wood, dont les yeux bleus traversent les 270 jours de tournage écarquillés en une seule et immuable expression. Si l'on se souvient bien, dans "Flipper", en ado ichtyophile, il jouait déjà comme une algue. Jean-Pierre Dufreigne, L'Express
Ce troisième tome reprend donc le rythme du précédent, en accentuant chacun des effets dramatiques. (...) Mais d'un film à l'autre rien n'a changé et la sensation qui domine est celle d'un crescendo qui ne trouve sa justification que dans l'accentuation sans fin de son volume sonore et visuel. Thomas Sotinel, Le Monde
La grande finale de la trilogie Lord of the Rings de Peter Jackson remplit totalement les hautes attentes mises en place par les deux œuvres précédentes. Un magnifique film qui amène l'odyssée de l'Anneau à une conclusion aussi stressante que satisfaisante. Mike Goodridge, Screen Daily
Cette adaptation respectant totalement l'œuvre adulée de Tolkien mérite les applaudissements. En définitive, l'infatigable Peter Jackson a relevé le défi au-delà des espérances. Stéphan Larouche, Voir
Argylle est considéré comme le premier flop de 2024. Le film d’espionnage de Matthew Vaughn est loin d’être le dernier - et encore moins le premier - à connaître cette destinée.
Sept ans après La danseuse, sur la stupéfiante Loïe Fuller, Stéphanie Di Giusto s'attaque en beauté à une autre femme-phénomène dans Rosalie, en salle au Québec dès le 26 avril.
Josh O’Connor et Mike Faist se livrent une joute sulfureuse pour gagner le cœur de Zendaya dans Challengers, plus récent film réalisé par Luca Guadagnino.
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