À l’occasion de la sortie en salle de Suzume de Makato Shinkai, Mediafilm vous présente une sélection de films d’animation japonais parmi les plus marquants.
Si l’on estime que les premières animations japonaises remontent à la fin des années 1910, Le serpent blanc (1958) de Taiji Yabushita est le plus ancien long métrage d’animation à avoir été évalué par Mediafilm.
C’est toutefois au cours des années 1960 que se développe le phénomène de l’animé, aussi appelé « japanimation », notamment avec l’apparition des mangas, indissociables de cette tradition, dont la paternité est attribuée à Osamu Tezuka, créateur d’Astro, le petit robot.
Depuis, de nombreux artisans nippons ont affiné les techniques et repoussé les limites de leur imagination, afin de produire des petites merveilles d’animation. Certaines d’entre elles, il faut le préciser, s'adressent davantage à un public averti (Akira, Ghost In The Shell, Perfect Blue).
Les fondateurs du réputé Studio Ghibli, Hayao Miyazaki, grand maître à qui l’on doit le chef-d’oeuvre Le voyage de Chihiro, et Isao Takahata (Le tombeau des lucioles), ont permis au genre de bénéficier d’une plus grande reconnaissance, grâce à la qualité des dessins et à la poésie qui se dégage de leurs films.
Aujourd’hui, ces animés, fort populaires au pays du Soleil Levant, ne cessent d’avoir de nouveaux adeptes autour du globe.
Une langue universelle, deuxième long métrage de Matthew Rankin, est projeté en première mondiale à la Quinzaine des cinéastes en marge du 77e Festival de Cannes.
Après avoir raflé les prix du jury et de la mise en scène à Cannes avec The Lobster et The Killing of a Sacred Deer, Yórgos Lánthimos concourt de nouveau pour la Palme d’or avec Kinds of Kindness.
Au 77e Festival de Cannes, Francis Ford Coppola lève (enfin!) le voile sur son attendu Megalopolis, 50 ans après sa première palme d’or (pour The Conversation), 45 ans après la seconde (pour Apocalypse Now).
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