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Un esprit dans le sang (Spirit in the Blood)

All. 2024. Thriller de Carly May Borgstrom avec Summer H. Howell, Sarah-Maxine Racicot, Michael Wittenborn. Lorsqu’une élève de son école est retrouvée morte, une adolescente angoissée rejoint un groupe de filles déterminées à se défendre contre le Mal au moyen de rituels occultes. Récit d’apprentissage un peu mince sur la solidarité féminine et le pouvoir du groupe. Mise en scène manquant de caractère. Bonnes interprètes. (sortie en salle: 1 novembre 2024)

13 ans +
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Un esprit dans le sang (Spirit in the Blood)

13 ans + 13 ans +

All. 2024. Thriller de Carly May Borgstrom avec Summer H. Howell, Sarah-Maxine Racicot, Michael Wittenborn.

Lorsqu’une élève de son école est retrouvée morte, une adolescente angoissée rejoint un groupe de filles déterminées à se défendre contre le Mal au moyen de rituels occultes. Récit d’apprentissage un peu mince sur la solidarité féminine et le pouvoir du groupe. Mise en scène manquant de caractère. Bonnes interprètes. (sortie en salle: 1 novembre 2024)

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Forcée de déménager au sein de la communauté religieuse de Saint Belvédère, Emerson est en proie à de violentes crises d’angoisse, qui lui font parfois halluciner des choses effrayantes. À l’école, les élèves se moquent d’elle, sauf Delilah, sa voisine. Celle-ci est persuadée que des forces sombres, tapies en chacun de nous, peuvent être réveillées à coup de rituels occultes. Alors que les restes de la meilleure amie de Delilah - victime d’un cougar, selon la version officielle - viennent d’être retrouvés par la police, plusieurs adolescentes se réunissent pour former un groupe de défense contre le Mal à coup de rituels occultes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce récit d’apprentissage joue avec les codes de l’horreur pour composer une ode à la libération de la colère et de la peur chez les jeunes femmes. SPIRIT IN THE BLOOD emprunte plusieurs thématiques au cinéma féministe de Jennifer Reeder (KNIVES AND SKIN) telles que le pouvoir du groupe, la puissance de la solidarité féminine et la jeunesse bafouée. Par sa sensibilité, le film rappelle aussi STAND BY ME, de Rob Reiner. Cela dit, l’Albertaine Carly May Borgstrom peine à déployer son récit un peu mince et à insuffler du caractère à sa mise en scène. Malgré tout, les interprètes livrent de bonnes performances, Summer H. Howell (CULT OF CHUCKY) et Sarah-Maxine Racicot (JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE) en tête.

Texte : Céline Gobert

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