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Sourire 2 (Smile 2)

É.-U. 2024. Drame d'horreur de Parker Finn avec Naomi Scott, Rosemarie DeWitt, Kyle Gallner. À la veille d'une tournée mondiale, une vedette de la pop est tourmentée par des visions terrifiantes. Suite anxiogène et plutôt réussie d’un succès de 2022. Rebondissements inattendus. Propos un peu court. Réalisation parfois ostentatoire. N. Scott convaincante. (sortie en salle: 18 octobre 2024)

13 ans + (violence, horreur)
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Sourire 2 (Smile 2)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2024. Drame d'horreur de Parker Finn avec Naomi Scott, Rosemarie DeWitt, Kyle Gallner.

À la veille d'une tournée mondiale, une vedette de la pop est tourmentée par des visions terrifiantes. Suite anxiogène et plutôt réussie d’un succès de 2022. Rebondissements inattendus. Propos un peu court. Réalisation parfois ostentatoire. N. Scott convaincante. (sortie en salle: 18 octobre 2024)

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Dans une semaine, Skye Riley entamera une gigantesque tournée mondiale qui devrait asseoir définitivement sa popularité. Encore pénalisée par les blessures subies lors d’un grave accident de voiture survenu un an auparavant, la vedette montante de la pop éprouve beaucoup de difficulté à supporter la pression de la célébrité. D’autant que son calendrier, géré par sa mère bienveillante mais stricte, empile les harassantes répétitions, les exercices de chant et les indispensables opérations de relation publique. Alors que la date fatidique approche, Skye est prise par des visions terrifiantes de personnes au large sourire qui semblent avoir perdu la raison. Peu à peu, son quotidien devient un cauchemar. N’y tenant plus, elle se résout à demander de l’aide à sa meilleure amie, avec qui elle avait coupé les ponts juste après l’accident.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Armé d’un budget beaucoup plus conséquent, Parker Finn reprend en les amplifiant les ingrédients qui avaient fait du modeste SMILE l’un des succès surprise de 2022. À savoir : une intrigue anxiogène aux rebondissements multiples; des retournements de situation inattendus; une réalisation nerveuse, jusqu'à l'ostentation; enfin, une forte dose de ‘jump-scares’ sanguinolents, bien rendus par les effets visuels irréprochables et le montage à la hache. Le plaisir de Finn, palpable et contagieux, se ressent jusque dans le portrait très vif (mais peu reluisant) qu'il brosse du monde du spectacle à travers notamment les numéros chantés. Cela dit, lorsqu’il aborde les conditions de transmission de la démence – élément qui faisait tout le sel de l’épisode précédent – son propos tourne court. Dans la peau de la star fragile, Naomi Scott (ALADDIN, CHARLIE’S ANGELS) est très convaincante.

Texte : Charles-Henri Ramond

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