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La Proie d'une ombre (The Night House)

G.-B. 2021. Drame d'horreur de David Bruckner avec Rebecca Hall, Sarah Goldberg, Stacy Martin. Au lendemain du suicide de son mari architecte, une enseignante devient sujette à des visions et des cauchemars liés à la maison lacustre qu'il avait construite pour eux. Illustration anxiogène du deuil, de la folie et de la masculinité toxique. Récit ingénieux, ne résistant pas tout à fait à l'analyse. Réalisation stylisée et prenante. R. Hall formidable. (sortie en salle: 20 août 2021)

13 ans +
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La Proie d'une ombre (The Night House)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 2021. Drame d'horreur de David Bruckner avec Rebecca Hall, Sarah Goldberg, Stacy Martin.

Au lendemain du suicide de son mari architecte, une enseignante devient sujette à des visions et des cauchemars liés à la maison lacustre qu'il avait construite pour eux. Illustration anxiogène du deuil, de la folie et de la masculinité toxique. Récit ingénieux, ne résistant pas tout à fait à l'analyse. Réalisation stylisée et prenante. R. Hall formidable. (sortie en salle: 20 août 2021)

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Au lendemain du suicide de son mari Owen, un architecte qui avait construit pour eux une spacieuse maison sur le bord d’un lac, l'enseignante Beth devient sujette à des visions angoissantes et à de terribles cauchemars, qui semblent liés à cette demeure. Carburant à l'alcool et souffrant de crises de somnambulisme, la veuve trouve dans le téléphone d'Owen des photos de plusieurs femmes, qui lui ressemblent beaucoup physiquement. Poursuivant ses recherches autour de la propriété, Beth découvre une maison similaire à la sienne, mais en plus mauvais état, où elle soupçonne que le défunt emmenait ses conquêtes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

David Bruckner tient les promesses de l'épatant RITUAL avec ce nouvel exercice dans l'horreur, qui propose une illustration anxiogène du deuil, de la folie et de la masculinité toxique. Si le récit, souvent ingénieux, ne résiste pas tout à fait à l'analyse et laisse quelques pistes en plan, la réalisation de Bruckner, stylisée et prenante, est irréprochable. Intense et investie, Rebecca Hall (CHRISTINE, PROFESSOR MARSTON AND THE WONDER WOMEN) confère de la profondeur à l'héroïne. Dans le rôle de la collègue et meilleure amie de cette dernière, la peu connue Sarah Goldberg est très attachante.

Texte : Louis-Paul Rioux

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