[Tatum et Hill] font preuve d’une grande capacité d’autodérision, essentielle dans cet univers déjanté et parodique, se servant de leur physique comme source intarissable de blagues, sur eux-mêmes et sur le genre qu’ils ridiculisent jusqu’au générique final, désopilant comme tout le reste.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

Tatum and Hill are able to sell the revision because they’re playing it straight up. (...) The movie works because it’s not reinventing the wheel. (...) [The] directors (...) simply put this old 10-speed on its kickstand and build up an entertaining sweat going nowhere new at all.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

[Jillian] Bell partage avec Jonah Hill des scènes au-delà du comique, du genre surréel qui vous laisse la rate dilatée. (...) Bien que les suites souffrent en général du manque d'éléments de surprise, 22 JUMP STREET contourne ce petit problème en faisant de la surenchère de pitreries.

Ce qui saute aux yeux ici, c'est Channing Tatum. Pas seulement pour sa plastique. Pas seulement pour les scènes d'action impressionnantes, (...) mais parce qu'il affiche un véritable talent comique. (...) Il est l'égal, et non le faire-valoir, de Jonah Hill, pourtant rompu à ce genre.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article