É.-U. 2001. Drame fantastique de Peter Jackson avec Elijah Wood, Ian McKellen, Viggo Mortensen. Un groupe d'humains et de personnages fabuleux entreprennent un périple pour détruire un anneau magique convoité par un sinistre seigneur. Brillante adaptation du premier tome du roman de J.R.R. Tolkien. Récit imaginatif. Impressionnante conception visuelle. Réalisation au souffle épique majestueux. Interprétation convaincue. (sortie en salle: 19 décembre 2001)
Un groupe d'humains et de personnages fabuleux entreprennent un périple pour détruire un anneau magique convoité par un sinistre seigneur. Brillante adaptation du premier tome du roman de J.R.R. Tolkien. Récit imaginatif. Impressionnante conception visuelle. Réalisation au souffle épique majestueux. Interprétation convaincue. (sortie en salle: 19 décembre 2001)
Jouissant de moyens considérables, Peter Jackson a misé sur le tournage simultané de trois longs métrages pour adapter à l'écran l'oeuvre gigantesque de J.R.R. Tolkien. Si l'on se fie à ce premier volet, il est clair que le cinéaste a gagné son pari, car il s'agit là d'une brillante réussite. Conférant à son film un souffle épique majestueux, Jackson parvient à soutenir le rythme par sa réalisation fougueuse et son impressionnant sens visuel. Avec l'aide de ses deux scénaristes, il transpose avec une efficacité exemplaire les méandres complexes du roman, tout en procédant avec grande intelligence aux raccourcis nécessaires. Les non-initiés seront subjugués par la création luxuriante de cet univers merveilleux où se côtoient la splendeur des décors naturels de la Nouvelle-Zélande, la somptuosité de la direction artistique et l'emploi judicieux d'effets numériques très réussis. Les lecteurs de Tolkien, quant à eux, seront surpris par les subtils changements dans le déroulement narratif et l'évolution de certains personnages-clés. L'ensemble de la distribution s'avère remarquable, dominée par le jeu convaincu et émouvant d'Elijah Wood, prêtant ainsi vie et crédibilité à des humains et des êtres fabuleux qui habitent désormais l'imaginaire populaire.
Texte : André Caron
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Je sais tout à propos de ces films, c'est mes 3 films préférés avec ONCE UPON A TIME IN THE WEST, l'introduction imbattable, c'est tellement épique et bien fait, la comté, séquence envoûtante, la communauté qui s'en vont dans leur quête, c'est magistrale, la moria, une des meilleurs séquences de l'histoire, la genre de mort de Gandalf, déchirant, la séquence avec les elfes, comme dans un rêve, la finale, très bien maîtrisé, et pognante au cœur quand Frodon s'en va et il entend le dialogue de Gandalf, c'est le meilleur dialogue qu'il y est jamais eu dans un film. On a peur, on est triste, on rit, on est frustré, on a toutes sortes d'émotions dans ce film, c'est peut-être la meilleure chose que le cinéma est jamais eu.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
(À la Michael Gagnon et Médiafilm, c'est amusant) Adaptation convaincante du premier tome du roman de Tolkien. Récit thématiquement riche et gardant les réflexions-clés de l'oeuvre originale. Scènes de frayeur et d'action ponctuées de moments parfois émouvants. Ambiance merveilleux de conte épique. Mise en scène enlevante. Jeu attachant des interprètes.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke
Premier film d’une trilogie dense et riche. Réalisation parfaitement maîtrisée. Mise en scène somptueuse. Introduction en voix hors-champs de première force. Tension dramatique soutenue. Ambiance envoûtante. Effets visuels fascinants. Bande sonore efficace. Quelques longueurs dans le premier tiers. Plusieurs séquences terrifiantes ou spectaculaires. Très bons interprètes.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Le volet le plus fidèle à la philosophie du roman de Tolkien. Le récit a du être simplifié, mais les réflexion-clés demeurent. Au delà des aspects techniques, Jackson a su faire du fameux anneau, un personnage presque à part entière. «C'est une fatalité que nous devions éprouver tant de peurs et de doutes pour une si petite chose, une si petite chose...» comme le dit si bien Boromir. La version longue donne un rythme plus fluide et un souffle encore plus ample à la réalisation enlevante de Jackson.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
La version longue est encore meilleure!
J'attribue à ce film la Cote