É.-U. 1994. Drame de moeurs de Quentin Tarantino avec John Travolta, Bruce Willis, Samuel L. Jackson. Deux tueurs à la solde d'un caïd de la drogue sont amenés à croiser les destins de divers personnages aussi louches qu'eux. Récits parallèles brillamment enchevêtrés. Chronologie trompeuse admirablement maîtrisée. Situations souvent drôles et surprenantes. Réalisation d'une belle virtosité. Excellents interprètes.
Deux tueurs à la solde d'un caïd de la drogue sont amenés à croiser les destins de divers personnages aussi louches qu'eux. Récits parallèles brillamment enchevêtrés. Chronologie trompeuse admirablement maîtrisée. Situations souvent drôles et surprenantes. Réalisation d'une belle virtosité. Excellents interprètes.
Construit comme SHORT CUTS, par chevauchement de récits parallèles, PULP FICTION paraît à prime abord plus désorganisé que le film de Robert Altman. Or, il s'avère en fin de compte moins linéaire sur le plan temporel et plus ambitieux sur le plan narratif. De longues séquences d'une insoutenable tension et des scènes vaudevillesques alternent avec un égal bonheur pour former un récit cynique axé principalement sur le rebondissement et la coïncidence. En équilibre entre la rigueur formelle du cinéma d'auteur et les impératifs économiques du cinéma commercial, ce film à la chronologie trompeuse admirablement maîtrisée veut visiblement rallier l'ensemble du public. La performance de Samuel L. Jackson réussit à éclipser parfois l'excellente interprétation de ses collègues, dont la plupart sont utilisés à contre-emploi.
Texte : Martin Bilodeau
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Ce film n'était pas (3) à sa sortie? PULP FICTION a donné naissance au cinéma «Nouvelle Vague» style américain. Le cinéma de Tarantino venait d'éclore.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Mon 5e film préféré, c'est différent, la soundtrack, l'humour noir, les performances, les dialogues, Uma Thurman, la réalisation de Tarantino, tout est parfait, tout le monde devrait voir PULP FICTION, un pur chef d'oeuvre
J'attribue à ce film la Cote