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Toutes peines confondues

Fr. 1992. Drame policier de Michel Deville avec Patrick Bruel, Jacques Dutronc, Mathilda May. Un inspecteur de police voit son intégrité mise au défi lorsqu'il est appelé à enquêter dans l'entourage d'un trafiquant de drogue. Thriller déroutant fondé sur le jeu subtil des relations entre les personnages. Mise en scène d'une élégance glaciale. Climat quasi surréaliste. Bons interprètes.

Général
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Toutes peines confondues (Toutes peines confondues)

Général Général

Fr. 1992. Drame policier de Michel Deville avec Patrick Bruel, Jacques Dutronc, Mathilda May.

Un inspecteur de police voit son intégrité mise au défi lorsqu'il est appelé à enquêter dans l'entourage d'un trafiquant de drogue. Thriller déroutant fondé sur le jeu subtil des relations entre les personnages. Mise en scène d'une élégance glaciale. Climat quasi surréaliste. Bons interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Rosalinde Deville
D'après le roman de Andrew Coburn
Photographie :
Montage :
L'inspecteur Vade enquête sur le crime crapuleux commis sur les parents de l'homme d'affaires et trafiquant de drogue Antoine Gardella. Alors que ce dernier se charge de faire justice lui-même, le jeune policier est contacté par un intrigant agent d'Interpol qui voudrait profiter des circonstances pour s'immiscer dans l'univers du mafioso. Vade se rend donc à Zurich pour faire connaissance avec Gardella. Entre les deux hommes commence le jeu du chat et de la souris. Alors qu'on essaie de l'acheter, le flic intègre est attiré par Jeanne, la belle épouse de Gardella. Se sentant manipulé de toutes parts, Vade tente de parer les coups. Mais quand il découvre le secret de la jeune femme, il sait que le rideau va bientôt tomber.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intérêt d'un polar, manière Michel Deville, réside plus dans le jeu subtil des relations entre les personnages que dans l'intrigue elle-même. Déroutante dans sa conception, à cent lieues des thrillers de série, cette adaptation s'intéresse surtout à l'arrière-plan du crime, à la dualité des êtres, qu'ils soient bons ou mauvais. Une mise en scène à l'élégance glaciale et policée fonctionne telle une mécanique de haute précision. Le climat quasi surréaliste de cette "chorégraphie" abstraite est rendu à merveille par les teintes métallisées de la photographie, par le rythme ciselé du montage et par les réparties spirituelles et volontairement théâtrales de bons interprètes.

Texte : Christian Depoorter

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