É.-U. 1990. Drame de moeurs de Francis Ford Coppola avec Al Pacino, Andy Garcia, Sofia Coppola. Après avoir fait fortune grâce au crime, le parrain de la mafia américaine cherche à oeuvrer dans la légitimité tout en étant secondé par un neveu impétueux. Portrait assez fascinant du personnage principal. Réalisation somptueuse. Séquence finale magistrale. Excellente interprétation.
Après avoir fait fortune grâce au crime, le parrain de la mafia américaine cherche à oeuvrer dans la légitimité tout en étant secondé par un neveu impétueux. Portrait assez fascinant du personnage principal. Réalisation somptueuse. Séquence finale magistrale. Excellente interprétation.
La saga de THE GODFATHER trouve ici une conclusion digne de sa renommée: l'ensemble du film est d'une qualité appréciable, mais c'est surtout la grande finale opératique qui en constitue le morceau de bravoure. Elle clôt magistralement cette épopée moderne du crime. Par ailleurs, le scénario trace un portrait assez fascinant du personnage principal, déchiré entre ses vieux instincts de criminel et son désir de rédemption. La réalisation, somptueuse mais parfois un peu lourde, atteste le goût de l'auteur pour la démesure. Al Pacino est excellent dans le rôle titre et Andy Garcia lui donne la réplique avec assurance.
Texte : Martin Girard
Par : Lise LeRoux, Montréal
Finale décevante aux chef-d'oeuvre que sont les Parrains 1 et 2. Tout m'énerve dans ce film. Le choix de la fille de Coppola qui joue mal. Le changement de personnalité du Parrain, qu'il prenne le personnage d'Andy Garcia comme successeur et l'amour entre celui-ci et la fille du parrain ne sont pas crédibles. Mais je ne peux m'empêcher de le regarder à chaque fois que les Parrains repassent à la télé...
J'attribue à ce film la Cote
Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke
Troisième volet faisant suite aux classiques du cinéma « Le Parrain ». Scénario riche, mais à la facture plus conventionnelle. Réalisation solide. Mise en scène très crédible. Photographie de qualité. S. Coppola très mauvaise. A. Garcia solide. A. Pacino intense.
J'attribue à ce film la Cote