L'Amour sorcier (El Amor Brujo)

Name: Amour sorcier, L'
Director: Carlos Saura
Genre: Drame musical
Duration: 100 min.

Esp. 1986. Drame musical de Carlos Saura avec Antonio Gades, Cristina Hoyos, Laura Del Sol. Une gitane obsédée par le fantôme de son mari est courtisée par l'homme qui est injustement accusé de sa mort. Adaptation d'un ballet de Manuel de Falla. Danses flamencos bien réglées. Traitement conventionnel mais ensemble intéressant. Mélange de réalisme et de stylisation.

L'Amour sorcier (El Amor Brujo)

Général

Esp. 1986. Drame musical de Carlos Saura avec Antonio Gades, Cristina Hoyos, Laura Del Sol.

Une gitane obsédée par le fantôme de son mari est courtisée par l'homme qui est injustement accusé de sa mort. Adaptation d'un ballet de Manuel de Falla. Danses flamencos bien réglées. Traitement conventionnel mais ensemble intéressant. Mélange de réalisme et de stylisation.

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Genre :

Drame musical

Année :

1986

Durée :

100 min.

Réalisation :

Carlos Saura

Pays :

Espagne

Distributeur :

Ciné 360

Interprètes :

Antonio Gades
Cristina Hoyos
Laura Del Sol

Promis l'un à l'autre par leurs pères, Candela et José s'épousent en une fête gitane traditionnelle. Mais José n'est pas des plus fidèles et le jour même des noces, il courtise la jolie Lucia qui devient sa maîtresse. Peu après, José est tué dans une rixe et son ami Carmelo est accusé du méfait. Après quatre ans, Carmelo rentre au campement et déclare enfin à Candela un amour ardent longtemps tenu secret. Mais Candela est obsédée par le fantôme de José qu'elle retrouve tous les soirs pour danser avec lui. Avec l'aide de Lucia, Carmelo arrive à conjurer le sortilège.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après NOCES DE SANG et CARMEN, Carlos Saura offre un troisième film où les danses de style flamenco sont mises en vedette. Il s'est inspiré en l'occasion d'un ballet conçu au début du siècle par son compatriote Manuel de Falla. La forme adoptée cette fois pour le traitement apparaît plus conventionnelle, mais l'ensemble ne manque pas d'intérêt pour autant. Les danses, réglées avec fougue et précision par Antonio Gades, sont entrecoupées de courtes scènes dramatiques qui précisent et relancent le récit. Le tout se présente dans un décor unique de village gitan décrit avec un heureux mélange de réalisme et de stylisation. Les danseurs sont de première force.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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