É.-U. 1980. Drame d'horreur de Stanley Kubrick avec Jack Nicholson, Shelley Duvall, Danny Lloyd. Engagé comme gardien d'un hôtel en montagne pendant l'hiver, un homme subit une étrange transformation mentale, qui l'incite à vouloir tuer son jeune fils et sa femme. Adaptation vertigineuse du roman de Stephen King. Fantastique mâtiné de psychologique. Mise en scène brillante et souvent impressionnante. Interprétation excellente.
Engagé comme gardien d'un hôtel en montagne pendant l'hiver, un homme subit une étrange transformation mentale, qui l'incite à vouloir tuer son jeune fils et sa femme. Adaptation vertigineuse du roman de Stephen King. Fantastique mâtiné de psychologique. Mise en scène brillante et souvent impressionnante. Interprétation excellente.
Abordant pour la première fois le cinéma d'horreur, Stanley Kubrick (A CLOCKWORK ORANGE, BARRY LYNDON) emmêle si habilement les éléments fantastiques et psychologiques de son récit qu'on ne parvient bientôt plus à les distinguer les uns des autres. Le réalisateur réussit des séquences de cinéma vertigineuses, mais l'ensemble vise avant tout à déstabiliser les spectateurs, confrontés à des phénomènes qui lui apparaissent arbitraires et inexplicables. On sent dans la mise en images et dans la direction d'acteurs qu'un grand maître est à l'oeuvre.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
C'était la steady-cam?
J'attribue à ce film la Cote
Par : Jason Plante, Gatineau
Et j'ai oublie d'ajouter que Shining est le premier film a avoir ete tourne avec une camera amovible, i.e., une camera capable de respecter son ojectif meme si on la secoue un peu. Inovateur comme film, franchement...
J'attribue à ce film la Cote
Par : Jason Plante, Gatineau
C'est vrai que Stephen King n'avais pas aime le film. Un desastre il a dit. Ce que je ne comprend pas, c'est que le monde est du meme avis. Danny Lloyd inoubliable, Shelley Duvall un certain charisme, et JACK NICHOLSON medalille en or!!! Mais que voulez-vous, le monde est fascine par les cliches et ces portes ou le petit Danny a ecrit "Redrum"!!!
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
READY PLAYER ONE m'a donné envie de revoir THE SHINNING...Ce qui est ironique c'est que ni Stephen King, ni Kubrick lui-même n'ont aimé cette oeuvre fascinante.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Benoit Roy, Montéal
Je ne comprends pas que MediaFilm aient seulement donné un 2 à ce film... un vrai chef d'oeuvre!
J'attribue à ce film la Cote
Par : Donald Bilodeau, Anjou
Tout a déjà été dit sur ce film afin qu'il obtienne sa cote de chef-d'oeuvre (la musique sublime, la photographie unique, etc.). Je ne veux que rajouter une mention de plus et cette fois-ci, c'est au sujet de l'interprétation. Jack Nicholson offre une performance inoubliable, mais l'interprétation d'ensemble est magistrale. Shelley Duvall est bouleversante en femme effrayée, épuisée et totalement démunie face à la transformation de son mari et le petit Danny Lloyd offre une des meilleures performances jamais offerte par un enfant au cinéma.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Pierre-Louis Prégent, Gatineau
Oeuvre phare du cinéma fantastique. Réalisation d'une maîtrise admirable. Atmosphère aux tonalités d'horreur teintée d'onirisme. Interprétation inoubliable de J. Nicholson.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Francis Perron, Bécancour
Oeuvre incontournable occupant une place particulière dans le cinéma fantastique moderne. Réalisation complexe. Interprétation magistrale.
J'attribue à ce film la Cote
P. M. - ROC
Climat magique, fantastique et d'un atroce réalisme. Une caméra très souple; jeu excellent de l'enfant et de sa mère, Nicholson accentue son rôle d'homme envahi par la folie.
A.O. Scott - The Globe and Mail
Kubrick certainly doesn't fail small. One could fast forget THE SHINING as an overreaching, multi-levelled botch were it not for the use to which Jack Nicholson's uncanny audience rapport is put.
Claude Baignères - Le Figaro
Mais ici la grandiloquence des images ne suffit pas à expliquer les péripéties. Il en résulte que la subite fureur de Nicholson paraît un acte gratuit. On ne sent guère la marée montante de la crise et c'est seulement lorsqu'elle atteint son paroxysme que l'action vous cloue à votre fauteuil.
Théodore Louis - La Libre Belgique
Son jeu outrancier porte une lourde responsabilité dans le ridicule de cette involontaire parodie qui a fait s'esclaffer, à bon droit, le public américain. Pour adultes et grands adolescents non impressionnables.
Olivier Séguret - Libération
Kubrick a toute latitude pour conférer aux événements purement fantastiques une splendeur lyrique: sublimation amphigourique des décors, fascination pour la beauté du sang et surtout utlisation à la limite du paroxysme des divers outils techniques que proposent le cinéma moderne.
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Le meilleur film d'horreur de l'histoire. Développement psychologique des personnages remarquables. Plusieurs moments mémorables. Réalisation magistrale. Photographie exquise en ayant de très larges plans. Première fois qu'on utilisait le steady cam, utilisé à merveille. Shelley Duvall un peu inégale. L'une des meilleurs performances de l'histoire de Jack Nicholson.
J'attribue à ce film la Cote