La sortie de Pinocchio nous donne l’occasion de mettre en lumière 5 films de Robert Zemeckis dont on oublie souvent qu’ils sont signés par le réalisateur de Forrest Gump.
Né à Chicago en 1952, Robert Zemeckis amorce sa carrière à Hollywood sous la tutelle de Steven Spielberg, qui le prend sous son aile après avoir été impressionné par un film qu’il a fait à l’université.
Alors que ses deux premiers longs métrages ne connaissent pas le succès espéré (I Wanna Hold Your Hand et Used Cars), l’auteur de la trilogie Back to the Future suit les traces du créateur d’Indiana Jones avec un sens indéniable de conteur, une passion pour les effets spéciaux et un penchant pour les histoires qui mêlent le merveilleux et le sentimentalisme.
Pour autant, Zemeckis n’est pas que le metteur en scène de Who Framed Roger Rabbit ou de Beowulf. Plusieurs des 21 films qu’il a signés montrent bien l’étendue de sa palette. En voici cinq qui illustrent la diversité des genres et des sujets qu’il a abordés.
Dans Kanaval, en salle cette semaine, le Québécois Henri Pardo raconte à hauteur d’enfant le choc migratoire d’un gamin haïtien fuyant avec sa mère la dictature des Duvalier. Panorama d’un pays qu’on voit peu au cinéma.
Laurent Cantet nous a quittés le 25 avril. Le cinéaste français venait de célébrer ses 63 ans. Bref retour sur une carrière marquée par l’empathie et les préoccupations sociales.
Argylle est considéré comme le premier flop de 2024. Le film d’espionnage de Matthew Vaughn est loin d’être le dernier - et encore moins le premier - à connaître cette destinée.
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