La sortie en salle de Crépuscule pour un tueur nous a incité à cibler 10 films d’ici, dont les récits, fictifs ou tirés de faits divers, s’inspirent du monde interlope.
Si le crime ne paie pas, l’étrange fascination que nous entretenons envers les braqueurs, tueurs à gages et autres gangsters rapportent gros au cinéma. Et bien que nous ne puissions rivaliser en nombre de productions vis-à-vis des Américains et des Européens, le cinéma québécois n’est pas en reste.
Pensons d’abord à la vie de criminels notoires immortalisés au grand écran, de Monica Proietti, la « Bonnie Parker québécoise » (Monica la mitraille) à Gérard Gallant (Confessions), en passant par Marcel Talon (Le dernier tunnel). Et que dire de Requiem pour un beau sans-coeur de Robert Morin, film s’inspirant librement de la vie de Richard Blass, l’un des plus dangereux criminels que le Québec ait connu.
Au-delà de ces êtres peu recommandables, devenus célèbres pour leurs actes répréhensibles, le cinéma d’ici s’est aussi penché sur l'univers du crime organisé. Dans cette catégorie s’inscrivent Mafia Inc. de Daniel Grou, dont la facture évoque le cinéma de Coppola et de Scorsese, et l’incontournable Réjeanne Padovani de Denys Arcand, pour lequel le réalisateur pose un regard aussi juste que critique sur le milieu de la pègre et de la corruption.
En salle le 19 avril, Do Not Expect Too Much From the End of the World met en scène une jeune femme mandatée par une multinationale afin de documenter le processus de casting d’une vidéo sur la sécurité au travail dans les rues de Bucarest.
La Bête raconte, à trois époques différentes, la romance impossible entre un homme et une femme que l’amour aurait dû souder, mais que la peur a divisés.
Spider-Man retrouve le chemin du grand écran. Chaque lundi jusqu’au 3 mai, Cineplex projette l’un des 8 films de la saga cinématographique mettant en scène le superhéros arachnéen.
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