
La sortie en salle de Crépuscule pour un tueur nous a incité à cibler 10 films d’ici, dont les récits, fictifs ou tirés de faits divers, s’inspirent du monde interlope.
Si le crime ne paie pas, l’étrange fascination que nous entretenons envers les braqueurs, tueurs à gages et autres gangsters rapportent gros au cinéma. Et bien que nous ne puissions rivaliser en nombre de productions vis-à-vis des Américains et des Européens, le cinéma québécois n’est pas en reste.
Pensons d’abord à la vie de criminels notoires immortalisés au grand écran, de Monica Proietti, la « Bonnie Parker québécoise » (Monica la mitraille) à Gérard Gallant (Confessions), en passant par Marcel Talon (Le dernier tunnel). Et que dire de Requiem pour un beau sans-coeur de Robert Morin, film s’inspirant librement de la vie de Richard Blass, l’un des plus dangereux criminels que le Québec ait connu.
Au-delà de ces êtres peu recommandables, devenus célèbres pour leurs actes répréhensibles, le cinéma d’ici s’est aussi penché sur l'univers du crime organisé. Dans cette catégorie s’inscrivent Mafia Inc. de Daniel Grou, dont la facture évoque le cinéma de Coppola et de Scorsese, et l’incontournable Réjeanne Padovani de Denys Arcand, pour lequel le réalisateur pose un regard aussi juste que critique sur le milieu de la pègre et de la corruption.
Keanu Reeves reprend pour la quatrième fois le rôle-titre de John Wick dans le 4e volet de la série. Survol de la carrière d’une des vedettes les plus humbles d’Hollywood.
Ça y est! Le comité s’est penché sur la question. Le verdict des spécialistes est tombé : Pialat, Losey, Malle, Saura, Lumet, Becker, Clouzot, c’est oui!
En salle cette semaine, L’innocent de Louis Garrel a récolté 2 César – Scénario et Actrice dans un second rôle – parmi ses 11 nominations. Mediafilm a posé quelques questions au comédien et réalisateur.
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