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Singing Back the Buffalo

Can. 2024. Documentaire de Tasha Hubbard . Fascinée par l’héritage musical entourant la disparition des buffles, une documentariste investigue la possibilité d’utiliser ces traditions pour favoriser leur retour. Oeuvre sincère mais un peu désincarnée. Approche mi-poétique, mi-pédagogique. Des redites. Narration monocorde. (sortie en salle: 13 septembre 2024)

Général
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Singing Back the Buffalo (Singing Back the Buffalo)

Général Général

Can. 2024. Documentaire de Tasha Hubbard .

Fascinée par l’héritage musical entourant la disparition des buffles, une documentariste investigue la possibilité d’utiliser ces traditions pour favoriser leur retour. Oeuvre sincère mais un peu désincarnée. Approche mi-poétique, mi-pédagogique. Des redites. Narration monocorde. (sortie en salle: 13 septembre 2024)

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Cinema Politica
L'enfance de Tasha Hubbard, documentariste d’origine crie, a été bercée par les mythes, chansons et histoires qui célébraient l’importance des buffles dans le mode de vie autochtone. À la fois source de nourriture, de chaleur et d’inspiration, le buffle est aussi devenu – avec les nombreux efforts déployés pour les exterminer – un animal métaphorique pour les autochtones, qui y voient un reflet et un symbole de leur propre condition. Mais parallèlement à leur disparition, des efforts visent de plus en plus à employer les traditions célébrant ces animaux mythiques pour les ramener dans leurs pâturages d’autrefois, dans le nord-ouest des États-Unis et du Canada.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Célébration des traditions honorant la mémoire des buffles, mais aussi des efforts déployés pour les préserver, le documentaire de Tasha Hubbard (BIRTH OF A FAMILY, NÎPAWISTAM SOWIN : WE WILL STAND) est une œuvre à la fois sincère et désincarnée. L’autrice (souvent présente à la caméra) assure la narration – tantôt scolaire, tantôt poétique – du film de A à Z. Or, cette narration finit par lasser par son ton étrangement monocorde. Épicé de scènes d’animation simples mais réussies, et de témoignages décousus mais généralement intéressants, l'ensemble, par la rareté du sujet, s’annonçait passionnant. En vérité, on n'en retient surtout que le spectacle de ces animaux majestueux magnifiquement filmés par George Hupka.

Texte : Georges Privet

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