É.-U. 2022. Drame fantastique de Ryan Coogler avec Letitia Wright, Tenoch Huerta, Angela Bassett. Après la mort du roi T’Challa, le Wakanda est menacé par des forces étrangères prêtes à tout pour mettre la main sur sa principale ressource naturelle, le tout-puissant vibranium. Volet de transition, hanté par la mort de Chadwick Boseman. Réalisation démesurée, jusque dans ses longueurs. Costumes somptueux. Interprètes en mode pseudo-shakespearien. (sortie en salle: 11 novembre 2022)
Après la mort du roi T’Challa, le Wakanda est menacé par des forces étrangères prêtes à tout pour mettre la main sur sa principale ressource naturelle, le tout-puissant vibranium. Volet de transition, hanté par la mort de Chadwick Boseman. Réalisation démesurée, jusque dans ses longueurs. Costumes somptueux. Interprètes en mode pseudo-shakespearien. (sortie en salle: 11 novembre 2022)
Le trentième film de l’univers cinématographique Marvel (et le dernier de sa phase 4) est hanté par la mort de l’acteur Chadwick Boseman. Volet de transition, signalant la fin d’une ère et le début d’une autre, BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER esquisse une méditation sur le deuil, mais aussi une réflexion sur l’avenir, à travers les conflits opposant les forces coloniales d’hier et les pays émergents d’aujourd’hui pour l’obtention des ressources de demain. Le tout, dans le cadre d’un film de superhéros surdimensionné (161 minutes), qui paraît souvent surchargé. Multipliant les intrigues et personnages secondaires, parfois abandonnés en cours de route, le film finit par ployer sous le poids de ses ambitions, avec une bonne demi-heure de trop au compteur. Restent une mise en scène épique, quelques séquences fortes (surtout au début et à la fin), des costumes somptueux et une distribution qui s’en donne à coeur joie dans le registre pseudo-shakespearien. C’est assez pour en faire un divertissement généralement efficace, même s’il n’arrive pas à égaler l’épisode initial.
Texte : Georges Privet
Par : Zachary Gaudreau, Repentigny
Après l'avoir vu au cinéma il y a déjà quelques semaines, je peux dire que j'ai bien aimé. Le début est touchant et nous met directement dans le bain. Le personnage est Namor est intéressant et on comprend ses motivations. Inversement, j'ai trouvé le film un peu trop et parfois trop expéditif. Franchement, en ce qui concerne les parties aux États-Unis, ça ne sert pas à grand chose. C'était bon, autant qu'une poutine chez Benny.
J'attribue à ce film la Cote