La Vie et rien d'autre

Name: Vie et rien d'autre, La
Director: Bertrand Tavernier
Genre: Drame social
Duration: 137 min.

Fr. 1989. Drame social de Bertrand Tavernier avec Philippe Noiret, Sabine Azéma, Pascale Vignal. En 1920, un commandant de l'armée française qui est chargé d'identifier les disparus de la Grande Guerre s'éprend d'une femme à la recherche de son mari. Tableau saisissant et plein d'ironie. Climat quasi surréaliste. Mise en scène rigoureuse et minutieuse. Jeu intense et nuancé de P. Noiret.

La Vie et rien d'autre (La Vie et rien d'autre)

Général

Fr. 1989. Drame social de Bertrand Tavernier avec Philippe Noiret, Sabine Azéma, Pascale Vignal.

En 1920, un commandant de l'armée française qui est chargé d'identifier les disparus de la Grande Guerre s'éprend d'une femme à la recherche de son mari. Tableau saisissant et plein d'ironie. Climat quasi surréaliste. Mise en scène rigoureuse et minutieuse. Jeu intense et nuancé de P. Noiret.

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Genre :

Drame social

Année :

1989

Durée :

137 min.

Réalisation :

Bertrand Tavernier

Pays :

France

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Philippe Noiret
Sabine Azéma
Pascale Vignal

Récompenses

En 1920, la mission du commandant Dellaplane de l'armée française consiste à dénombrer et à identifier les disparus de la Grande Guerre. Révolté par l'ampleur du désastre, cet officier compatit peu aux recherches qu'effectue Irène de Courtil pour retrouver son mari disparu au combat. C'est qu'il tient sa famille d'industriels pour responsable en partie du carnage. Néanmoins, cette femme, qu'il n'arrête pas de croiser, l'attire énormément au point de l'obséder. Pendant ce temps, son subordonné, le capitaine Perrin, éprouve des difficultés à choisir des candidats pour la tombe du Soldat Inconnu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Faisant preuve d'une recherche historique sérieuse, Tavernier brosse un tableau saisissant et plein d'ironie d'une époque peu connue. Le climat quasi surréaliste du récit se trouve accentué par une photographie aux teintes gris bleuté qui coïncident bien avec l'état d'âme des personnages et avec le chaos de cet univers détruit. Ce procédé n'est pas sans rappeler les vieux films monochromes. D'une grande rigueur, la mise en scène soigne le moindre détail, comme en témoigne la richesse du décor. Par l'intensité de son jeu, Philippe Noiret, dont il s'agit ici du centième film, réussit à apporter toutes les nuances voulues à son rôle.

Texte : Christian Depoorter

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