It. 1984. Drame de moeurs de Sergio Leone avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern. L'ascension et la chute d'une bande de gangsters de New York. Évocation symbolique de la dégradation du rêve américain. Scénario riche et puissant. Montage complexe. Climat à la fois ironique et mélancolique. Images superbes. Interprétation fort convaincante.
L'ascension et la chute d'une bande de gangsters de New York. Évocation symbolique de la dégradation du rêve américain. Scénario riche et puissant. Montage complexe. Climat à la fois ironique et mélancolique. Images superbes. Interprétation fort convaincante.
Depuis dix ans, Leone travaillait à ce projet qu'il a fini par mener à bien dans un film d'une ampleur impressionnante. Un montage complexe mêle les trois époques du récit dans une sorte de climat onirique accentué par un mouvement d'une lenteur délibérée, ponctué d'éclats de violence. Le petit monde des gangsters, symbolique d'un rêve américain dégradé, est évoqué sur un ton d'une mélancolie sensible dans des images d'une composition superbe. La musique lancinante de Morricone vient souligner l'ambiance et l'interprétation est fort convaincante.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Louis-François Archambault-Therrien, Montréal
Quittant le western, Leone signe une grande épopée se situant à l'époque de la prohibition. La réalisation est magnifique, le scénario est riche et l'interprétation magistrale, dont DeNiro qui signe l'une de ses meilleures performances.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Leone signe un dernier film d'une grande mélancolie, sa seule oeuvre non-western. Mais son style particulier se fait sentir même si c'est un film de gangsters et la reconstitution de trois époques est admirable, tout comme la musique d'Ennio Morricone. Il faut bien divisé le film en deux écoutes du à sa très très longue durée, mais le voyage vaut la peine en marquant longtemps l'esprit.
J'attribue à ce film la Cote