É.-U. 1978. Drame de moeurs de Terrence Malick avec Richard Gere, Brooke Adams, Linda Manz. En 1916, pour échapper à la justice, un jeune ouvrier s'enfuit au Texas avec sa soeur et sa maîtresse, et tous trois trouvent un emploi sur une ferme. Oeuvre admirablement composée. Utilisation poétique de la voix-off. Mise en scène d'un grand lyrisme. Images inoubliables. Personnages bien campés.
En 1916, pour échapper à la justice, un jeune ouvrier s'enfuit au Texas avec sa soeur et sa maîtresse, et tous trois trouvent un emploi sur une ferme. Oeuvre admirablement composée. Utilisation poétique de la voix-off. Mise en scène d'un grand lyrisme. Images inoubliables. Personnages bien campés.
Déjà auteur d'un premier film remarqué, BADLANDS, Terrence Malick confirme son talent avec cette deuxième oeuvre admirablement composée. Le jeune réalisateur a particulièrement soigné la forme de son film, obtenant une suite d'images d'une beauté exceptionnelle. La narration candide et dite d'une voix rauque par une adolescente, ajoute à la saveur de l'ensemble, par ailleurs défendu avec intelligence et conviction par une excellente distribution.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Janet Maslin - New York Times
From the foreboding that accompanies the workers' arrival to one of the most Biblical-looking calamities ever captured on film, DAYS OF HEAVEN (...) is as hauting as its vision of a crystal glass dropped into moonlit water. It lives up to its title.
(Texte paru en 1999)
Arthur Knight - Hollywood Reporter
Scenes begin abruptly, then end before they seem to have made their full statement. Events (such as the infestation of locusts) take place arbitrarily, lacking either adequate preparation or dramatic pay-off. As a result, the picture feels to be patchy, a thing of bits and pieces, lacking dramatic cohesion.
(Texte paru en 1978)
Michel Marmin - Le Figaro
Il y a malheuresement dans les MOISSONS DU CIEL et dans son esthétisme photographique quelque chose de froid, d'inhumain et, il faut bien le dire, d'un peu vide. (...) Terrence Malick sait admirablement filmer une goutte d'eau sur un épi de blé, mais il lui manque incontestablement le souffle, l'inspiration et une certaine forme de naïveté.
(Texte paru en 1979)
P. D'Alby - France Catholique
La grandeur des MOISSONS DU CIEL vous prend tout doucement, insensiblement, parce qu'il n'y a ni action ni analyse psychologique, mais seulement des présences, des existences : les hommes et les femmes, et, au-dessus d'eux, les faisant paraître bien petits, la nature, l'espace, les blés, la moisson, la maison du propriétaire, point d'orgue dans le ciel et sur cette vaste plaine ondulant sous le vent.
(Texte paru en 1979)
P. Schillaci - Mass Media Newsletter
DAYS OF HEAVEN is that rare experience, a journey into the past which is not the pre-packaged mythology of nostaliga littered with trivia , but an interior pilgrimage to the origins of myth.
(Texte paru en 1978)
Richard Combs - Sight & Sound
One suspects also that, in place of the local ironies of BADLANDS, he [Terrence Malick] has arrived at a more overreaching perspective, as ambivalently compassionate and detached , in which the silences and absences of meaning in his characters' lives stand for all those things which are above and beneath their gaze.
(Texte paru en 1979)
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Malgré que je n'ai pas adoré, je peux voir que c'est un film remarquable avec des images splendides
J'attribue à ce film la Cote