É.-U. 1968. Western de Sergio Leone avec Charles Bronson, Henry Fonda, Claudia Cardinale. Un inconnu au passé mystérieux se fait le protecteur d'une femme menacée par des bandits. Western au souffle opératique grandiose. Notes d'humour sarcastique. Mise en scène spectaculaire et fort inventive. Traitement stylisé. Montage remarquable. Musique inoubliable d'Ennio Morricone. Très bonne distribution.
Un inconnu au passé mystérieux se fait le protecteur d'une femme menacée par des bandits. Western au souffle opératique grandiose. Notes d'humour sarcastique. Mise en scène spectaculaire et fort inventive. Traitement stylisé. Montage remarquable. Musique inoubliable d'Ennio Morricone. Très bonne distribution.
Sergio Leone, le maître du western italien (THE GOOD, THE BAD AND THE UGLY, A FISTFUL OF DOLLARS), a visiblement disposé ici de moyens financiers imposants et a réuni une belle brochette d'acteurs américains. Il s'est même permis le luxe d'aller tourner quelques scènes dans l'Ouest américain. Le résultat d'ensemble est assez impressionnant et les éléments traditionnels du genre y reçoivent un traitement stylisé. L'image est toujours cadrée avec soin et un ton d'humour tempère quelque peu la violence omniprésente. L'interprétation, très caractérisée, est efficace.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Le western spaghetti par excellence! Il faudrait que je vois cette version de 140 minutes, car c'est la version plus longue que j'ai vu. Peu importe, le souffle épique de ce western est imbattable. Plusieurs scènes sont anthologiques grâce à la réalisation ample et stylisée de Leone. Chaque plan a été travaillé, tandis que la musique est originale et sublime. Charles Bronson, Jason Robards, Claudia Cardinale et Henry Fonda sont aussi mémorables.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Louis-François Archambault-Therrien, Montréal
Leone est un maître et il le prouve avec ce film. Ayant une histoire plus classique au genre, sa réalisation est plus spectaculaire que jamais. L'interprétaion et la musique de Morricone sont parfaites.
J'attribue à ce film la Cote
Auteur inconnu - Paris Match
Il était une fois dans l'Ouest est un conte de fée aux couleurs sombres qui brosse tous les thèmes de l'aventure. Dans ses décors baroques et ses paysages désertiques, avec un souci minutieux de la vérité historique, Sergio Leone transforme son western en opéra, s'attarde à plaisir sur les visages de ses héros, rêve en couleur. On trouve cela bien lent ou l'on est fasciné.
Luc Perreault - La Presse
(...) Le découpage, le montage, les cadrages y sont d'une souplesse foudroyante, à vous couper le souffle. (...) Au début, on assiste à une scène de mise à mort entre l'Homme [Charles Bronson] et trois gangsters venus l'attendre à sa sortie du train. (...) On est alors subjugué non pas par des détails triviaux comme le fait de savoir qui l'emportera mais par une réalité plus fondamentale encore: le rythme des images.
A. M. - Le Film Français
Après les indéniables réussites que constituaient ses trois précédents films (...), Sergio Leone signe le chef-d'oeuvre du «western italien». (...) Par le lyrisme qu'il imprime à son film, la prestigieuse force d'évocation qu'il donne à certains plans (...), [il] accomplit même la performance de restituer une véritable noblesse au Western.
Michel Mardore - Le Nouvel Observateur
Sergio Leone avait réinventé le genre. Ses quatre films auront compté. Pour une poignée de dollars ainsi qu' Et pour quelques dollars de plus ont mis à la mode le western italien et redonné au monde entier, Hollywood compris, le goût de l'Ouest. Avec Le Bon, la Brute et le Truand, il a signé le chef-d'oeuvre de la série. Maintenant il couronne son quatuor par les noces fastueuses de l'Amérique et du «spaghetti-western».
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Mon film préféré avec la trilogie de THE LORD OF THE RINGS. Histoire brillante. Plusieurs scènes faisant partis des meilleurs que j'ai jamais vu. Dialogues parfaits et quelques phrases cultes. Réalisation efficace. Belle photographie en montrant des plans magnifiques du sud des États-Unis. Musique prenante et mémorable de Ennio Morricone. Interprétations fortes. Henry Fonda jouant à merveille l'un des méchants les plus détestables dans son seul rôle d'antagoniste.
J'attribue à ce film la Cote