É.-U. 1958. Thriller de Alfred Hitchcock avec James Stewart, Kim Novak, Barbara Bel Geddes. Un détective à la retraite est bouleversé par l'apparent suicide d'une femme qu'on l'avait chargé de surveiller. Oeuvre clé de l'auteur et du genre. Scénario ingénieux et riche. Suspense évoluant à la lisière du fantastique. Réalisation de grande classe profitant d'une illustration somptueuse. Remarquable musique de Bernard Herrmann. Jeu excellent de J. Stewart.
Un détective à la retraite est bouleversé par l'apparent suicide d'une femme qu'on l'avait chargé de surveiller. Oeuvre clé de l'auteur et du genre. Scénario ingénieux et riche. Suspense évoluant à la lisière du fantastique. Réalisation de grande classe profitant d'une illustration somptueuse. Remarquable musique de Bernard Herrmann. Jeu excellent de J. Stewart.
Dans ce nouvel exercice de suspense, Alfred Hitchcock ne s'est guère soucié des invraisemblances. En faisant comme lui, et en acceptant de jouer le jeu totalement, on se réservera un réel plaisir du commencement à la fin. Le film est bien interprété et offre des vues superbes de la ville de San Francisco.
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
J'ai oublié de mentionner la performance remarquable de James Stewart puis je me suis trompé dans le titre de PSYCHO.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
L'un des meilleurs scénarios de l'histoire. Photographie exquise. Mon 2e préféré de Hitchcock, PHSYCHO est imbattable.
J'attribue à ce film la Cote
Jean Collet - Études
La nouvelle de Boileau et Narcejac (...), et plus encore le scénario (...) sont d'une extrême complexité. Or, jamais nous ne perdons pied dans le récit. Au contraire, le charme du film tient (...) à ce que nous suivons sans aucune peine des situations confuses. (Texte paru en 1984)
Éric Rohmer - Arts
SUEURS FROIDES, c'est toujours quelque chose de plus que ce qui nous est montré (...). C'est un film à tiroirs, ou si l'on préfère à couloirs. Un labyrinthe dont il n'est pas un chemin qui ne bifurque en avant et en arrière. (Texte paru en 1959)
Claude Fachard - Le Pélerin
Avec ce film, Hitchcock a raté de peu le chef-d'oeuvre et a presque égalé la parfaite mystification de MAIS QUI A TUÉ HARRY? (...) Hélas! Le dernier tiers de SUEURS FROIDES, plus dramatique que mystérieux, rompt l'harmonie. (Texte paru en 1959)
Claude Mauriac - Le Figaro Littéraire
Les qualités du dernier Hitchcock (...) apparaissent surtout d'ordre plastique et poétique. (...) Un seul reproche: l'effet de surprise qui devrait être aussi saisissant que celui apporté par (...) LES DIABOLIQUES (...), est désamorcé en cours de route. (Texte paru en 1959)
Jean de Baroncelli - Le Monde
SUEURS FROIDES (...) n'est nullement un film policier. C'est à proprement parler un film de mystère, le mystère se situant ici aux frontières du surnaturel. (...) la maîtrise d'Hitchcock a rarement été aussi éclatante. (Texte paru en 1959)
Par : Jean-François Croteau, Trois-Rivières
Un véritable chef d'oeuvre, et l'un des meilleurs films au monde.
J'attribue à ce film la Cote